Au Moyen-Orient, les impôts désignent généralement l’argent que les citoyens sont tenus de verser à l’État afin de financer les dépenses publiques. Cela inclut des choses comme les infrastructures, l’éducation, la défense, etc. Le montant des impôts que les gens doivent payer varie d’un pays à l’autre, et est généralement basé sur des facteurs tels que le revenu et le niveau de vie. Il existe différents types d’impôts au Moyen-Orient, notamment l’impôt sur le revenu, l’impôt foncier, la taxe de vente et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA). La manière dont ces taxes sont collectées varie également d’un pays à l’autre.
Dans certains cas, les impôts sont déduits directement du salaire des personnes par leur employeur. Dans d’autres cas, les gens doivent remplir une déclaration d’impôts et payer eux-mêmes leurs impôts. Le montant des impôts que les gens doivent payer dépend également de leur niveau de revenu. Plus une personne est riche, plus elle doit généralement payer d’impôts. Le concept de l’impôt est généralement perçu de manière positive au Moyen-Orient, car il est considéré comme un moyen nécessaire de financer les services publics. Cependant, certains pensent que les impôts sont trop élevés et que le gouvernement devrait faire davantage pour les réduire.
La fiscalité au Moyen-Orient a une longue histoire, qui remonte à l’époque de l’Empire Ottoman. La fiscalité dans la région est généralement régie par la loi religieuse, avec des taxes prélevées sur les revenus, les biens et autres transactions. Le concept d’imposition au Moyen-Orient est généralement basé sur le principe de la Zakat, qui est un don caritatif obligatoire utilisé à des fins de bien-être social. La Zakat est généralement collectée par le gouvernement et distribuée aux personnes dans le besoin. Dans certains pays, elle est également utilisée pour financer les institutions religieuses.
Au Moyen-Orient, la fiscalité est souvent considérée comme un mal nécessaire, de nombreuses personnes estimant que les impôts ne devraient servir qu’aux dépenses essentielles du gouvernement. Cependant, on reconnaît de plus en plus la nécessité de la fiscalité pour financer les projets de développement et d’infrastructure, qui peuvent améliorer l’économie globale. Il existe un certain nombre de raisons expliquant la faible charge fiscale au Moyen-Orient. Ces raisons comprennent :
- La dépendance à l’égard des revenus du pétrole et du gaz, qui ne sont pas soumis à l’impôt
- Les faibles niveaux de dépenses publiques, qui réduisent le besoin de recettes fiscales
- Les faibles niveaux de développement économique, ce qui signifie qu’il y a moins de contribuables et que moins de recettes fiscales sont collectées
La fiscalité au Moyen-Orient est un sujet complexe et il n’existe pas d’approche unique. Chaque pays possède son propre système fiscal unique, et la meilleure façon de comprendre le paysage fiscal au Moyen-Orient est de consulter un conseiller fiscal qualifié.