Comment est imposé l’IS ?
L’impôt sur les sociétés est un impôt qui frappe les entreprises. Sa mise en place est assez complexe, et sa structure et son calcul sont différents selon les pays. En France, par exemple, l’IS est composé de deux parts : l’impôt sur les bénéfices et la contribution sociale. Vous vous demandez comment fonctionne l’impôt sur les sociétés ? Vous n’êtes pas seul. Toute entreprise est tenue de payer des impôts sur ses bénéfices, quelle que soit sa taille. Mais la manière dont cet impôt est prélevé peut prêter à confusion. Cet article aidera à dissiper certaines confusions concernant l’impôt sur les sociétés.
Une fois que vous aurez compris comment il fonctionne, vous serez mieux armé pour prendre des décisions concernant votre entreprise et ses finances. Restez informé et maîtrisez la situation grâce à notre guide de l’impôt sur les sociétés. Lisez notre guide complet pour apprendre tout ce que vous devez savoir sur l’impôt sur les sociétés !
Définitions et généralités
Un impôt sur les sociétés, également appelé impôt sur le revenu des sociétés (IS), est un impôt prélevé sur les bénéfices ou les gains d’une société. Le taux d’imposition peut varier en fonction de la juridiction, mais il est généralement basé sur une base d’imposition des sociétés qui comprend les bénéfices provenant de toutes les sources du pays. Dans la plupart des juridictions, l’impôt sur les sociétés est imposé au niveau fédéral. Toutefois, certains pays imposent également l’impôt sur les sociétés au niveau des États ou des provinces. En outre, de nombreux pays ont signé des conventions fiscales avec d’autres pays qui peuvent exempter certains types de revenus de l’impôt sur les sociétés.
L’assiette de l’impôt sur les sociétés comprend généralement les bénéfices mondiaux et locaux, bien qu’il puisse y avoir quelques exceptions pour des types de revenus spécifiques. Par exemple, en France, l’impôt sur les sociétés est imposé sur les bénéfices mondiaux, mais les bénéfices locaux peuvent être exonérés s’ils sont réinvestis dans la société. Aux États-Unis, l’impôt sur les sociétés est imposé sur les revenus de source nationale et étrangère.
L’impôt sur les sociétés est généralement payable par acomptes tout au long de l’année. Toutefois, dans certaines juridictions, les sociétés contribuables peuvent être tenues de verser une somme forfaitaire à la fin de l’année. Dans certaines juridictions, l’impôt sur les sociétés peut être utilisé pour financer des programmes gouvernementaux spécifiques.
Le calcul de l'impôt sur les sociétés
L’impôt sur les sociétés est imposé sur le revenu imposable des personnes morales. Le taux de l’impôt sur les sociétés est un taux fixe de 25 %. Pour calculer l’impôt sur les sociétés, il faut d’abord déterminer le revenu imposable de la société. Le revenu imposable est le revenu total de la société moins les déductions et les exemptions autorisées par la loi. Ensuite, appliquez le taux d’imposition des sociétés de 25 pour cent au revenu imposable. Vous obtiendrez ainsi le montant de l’impôt sur les sociétés qui est dû.
Si vous êtes une société qui doit payer des impôts estimés, vous pouvez peut-être déduire votre impôt sur les sociétés de vos impôts estimés. Cela peut contribuer à réduire votre facture fiscale globale. Consultez un professionnel de la fiscalité pour savoir si vous avez droit à cette déduction.
Exemple de calcul de l’impôt sur les sociétés(IS) :
- La société XYZ est une société S dont les bénéfices s’élèvent à 101 060 €. Les actionnaires de la société devront chacun payer un impôt sur le revenu individuel sur leur part des bénéfices, à leur taux marginal d’imposition. Par exemple, si un actionnaire se situe dans la tranche marginale d’imposition de 25 %, il devra 25 262,50 € d’impôt sur sa part des bénéfices de l’entreprise (25 % de 101 060 €). Si un autre actionnaire se situe dans la tranche marginale d’imposition de 35 %, il devra 35 000 € d’impôts sur sa part des bénéfices (35 % de 101 060 €). La société elle-même ne devra payer aucun impôt sur le revenu des sociétés.
- La société ABC est une société C dont le revenu imposable est de 101 060 €. Le taux d’imposition des sociétés est de 25 %. L’impôt sur le revenu des sociétés dû serait de 25 262,50 € (25 % de 101 060 €).
La base imposable de l'IS
La base imposable aux fins de l’impôt sur les sociétés est le résultat de la soustraction du bénéfice ou de la perte comptable déterminé conformément aux principes comptables généralement admis (PCGA), des montants qui sont exonérés, non déductibles ou soumis à un régime spécial.
Les éléments exonérés
Les éléments suivants sont exonérés de l’impôt sur les sociétés :
- Les dividendes et autres distributions effectuées par les sociétés à leurs actionnaires.
- Les intérêts sur les prêts aux actionnaires.
- Les gains sur la cession d’actions par les sociétés à leurs actionnaires, pour autant que certaines conditions soient remplies.
Les dépenses non déductibles
Les dépenses suivantes ne sont pas déductibles aux fins de l’impôt sur les sociétés :
- Les amendes et pénalités.
- Les dons faits aux partis politiques ou aux candidats.
Les régimes spéciaux
Il existe un certain nombre d’éléments qui sont soumis à des régimes spéciaux aux fins de l’impôt sur les sociétés. Ces éléments sont les suivants :
- Les revenus de certaines activités exercées par des professionnels, tels que les avocats et les médecins.
- Les revenus provenant de la location de biens immobiliers.
- Gains ou pertes sur la vente d’actifs qui ne sont pas considérés comme des immobilisations.
- Les revenus provenant de certains types d’entreprises, comme les bars et les restaurants.
- Certains paiements effectués à des sociétés étrangères.
Le taux d'imposition de l'IS
Le taux de l’impôt sur les sociétés de l’IS est de 30 %. Ce taux est appliqué au revenu imposable de la société. Le revenu imposable est le revenu total de la société moins les déductions et les dépenses autorisées par la loi. L’impôt sur le revenu des sociétés est prélevé sur les bénéfices d’une société. Les bénéfices sont définis comme la différence entre les revenus et les dépenses d’une société. Les recettes comprennent toutes les formes de revenus, comme les ventes, les intérêts, les dividendes et les redevances. Les dépenses comprennent toutes les formes de dépenses, tels que le coût des marchandises vendues, les frais d’exploitation et les taxes.
Le taux d’imposition des sociétés est appliqué au revenu imposable de l’entreprise. Le revenu imposable est le revenu total de la société moins les déductions et les dépenses autorisées par la loi. Les déductions et les dépenses sont déduites du revenu total d’une société pour obtenir son revenu imposable.
Les déductions comprennent des éléments tels que :
- La dépréciation
- L’amortissement
- Les pertes
Les dépenses comprennent des éléments tels que :
- Les salaires
- Les loyers
- Les intérêts
- Les impôts
Des exemples de calculs du taux d’imposition :
- Une société a des revenus totaux de 101 060 € et des dépenses de 70 742 €. Son revenu imposable serait de 30 000 € (101 060 € – 70 742 €). À un taux d’imposition des sociétés de 30 %, la société devrait 9 095,40 € d’impôt sur le revenu des sociétés ( 30 318 € x 0,30).
- Une société a des revenus totaux de 100 000 € et des dépenses de 80 000 €. Son revenu imposable serait de 20 000 € (100 000 € – 80 000 €). À un taux d’imposition des sociétés de 30 %, la société devrait 6 000 € d’impôt sur le revenu des sociétés (20 000 € x 0,30).
- Une société a des revenus totaux de 100 000 € et des dépenses de 90 000 €. Son revenu imposable serait de 10 000 € (100 000 € – 90 000 €). À un taux d’imposition des sociétés de 30 %, la société devrait payer 3 000 € d’impôt sur le revenu des sociétés (10 000 € x 0,30).
Dans quels cas l’imposition de l’IS est-elle différée ?
L’impôt sur le revenu des sociétés est généralement imposé sur le revenu imposable d’une société. Toutefois, il existe certains cas dans lesquels l’imposition de l’impôt sur le revenu des sociétés peut être différée. Par exemple, l’impôt sur le revenu des sociétés peut être reporté sur la vente d’actions par une société à ses actionnaires. De plus, l’impôt sur le revenu des sociétés peut être reporté sur les revenus réinvestis dans la société (c’est-à-dire les bénéfices non distribués).
L’impôt sur le revenu des sociétés peut également être reporté sur les dividendes versés aux actionnaires. Cela s’explique par le fait que les dividendes sont imposés comme un revenu personnel, plutôt que comme un revenu de société. Ainsi, les actionnaires ne sont imposés sur les dividendes que lorsqu’ils les reçoivent, plutôt que lorsque la société les gagne.
Il existe un certain nombre d’autres circonstances dans lesquelles l’impôt sur le revenu des sociétés peut être reporté. Toutefois, il s’agit là de certains des exemples les plus courants. En général, l’impôt sur le revenu des sociétés est reporté dans les cas où il créerait une charge excessive pour la société ou ses actionnaires. En reportant l’impôt sur le revenu des sociétés, les sociétés et les actionnaires peuvent mieux gérer leurs finances et éviter de payer des impôts inutiles.
Les avantages de l'imposition de l'IS
L’impôt sur le revenu des sociétés est un impôt prélevé sur les bénéfices d’une société. L’impôt sur le revenu des sociétés est généralement imposé aux sociétés, aux sociétés à responsabilité limitée et à d’autres entités commerciales. L’impôt sur le revenu des sociétés est généralement imposé au niveau national, mais peut également être imposé au niveau de l’État ou au niveau local. L’impôt sur le revenu des sociétés est généralement progressif, ce qui signifie qu’il impose un taux d’imposition plus élevé aux sociétés dont les bénéfices sont plus importants. L’impôt sur le revenu des sociétés est utilisé pour générer des recettes pour le gouvernement, et pour encourager l’investissement et la croissance économique.
L’impôt sur le revenu des sociétés présente plusieurs avantages par rapport à d’autres impôts, tels que l’impôt sur le revenu des personnes physiques :
- Premièrement, l’impôt sur le revenu des sociétés est plus facile à gérer que les autres impôts.
- Deuxièmement, l’impôt sur le revenu des sociétés permet de collecter plus sur les bénéfices des entreprises.
- Enfin, l’impôt sur les sociétés est plus difficile à éviter que les autres impôts.
Les Inconvénients de l'imposition de l'IS
Lorsqu’une société réalise un bénéfice, elle doit payer un impôt sur le revenu des sociétés sur ce bénéfice. Le montant de l’impôt sur les sociétés qu’une société doit payer dépend du revenu imposable de la société et du taux de l’impôt sur les sociétés.
L’impôt sur le revenu des sociétés constitue une dépense importante pour les sociétés. En plus de l’impôt sur le revenu des sociétés, les sociétés doivent également payer d’autres impôts, tels que :
- Les impôts fonciers
- Les charges sociales
- Les taxes de vente
Toutes ces taxes peuvent s’additionner pour atteindre un une dépense importante pour les entreprises.
L’impôt sur le revenu des sociétés est également une charge pour les actionnaires. Lorsqu’une société paie l’impôt sur le revenu des sociétés, les actionnaires doivent payer des impôts sur les dividendes qu’ils reçoivent de la société. Cela peut rendre les placements dans les sociétés moins attrayants pour les investisseurs.
Enfin, l’impôt sur les sociétés dissuade les entreprises d’investir dans leurs activités. Lorsqu’une société investit dans son entreprise, elle réalise un investissement qui générera des bénéfices à l’avenir. Toutefois, ces bénéfices futurs seront imposés au taux de l’impôt sur les sociétés. Cela peut décourager les entreprises de faire des investissements qui améliorent leurs perspectives à long terme.
En résumé : comment est imposé l'IS en France ?
Comme dans la plupart des pays, l’impôt sur les sociétés en France est prélevé sur les bénéfices des entreprises. Cependant, le système français d’impôt sur les sociétés est relativement complexe, avec différents taux s’appliquant à différents types de revenus. Le taux de l’impôt sur les sociétés en France est actuellement de 33,33 %, ce qui est inférieur au taux en vigueur dans de nombreux autres pays. Toutefois, il est prévu que ce taux passe à 35 % en 2020. Les bénéfices des activités ordinaires sont imposés au taux normal de l’impôt sur les sociétés, soit 33,33 %. Cependant, il existe un certain nombre de déductions et d’exemptions qui peuvent s’appliquer pour réduire le montant de l’impôt qu’une entreprise doit.
Les dividendes versés aux actionnaires sont également soumis à l’impôt sur les sociétés, à un taux de 15%. Toutefois, il existe un crédit d’impôt sur les sociétés pour les dividendes versés aux actionnaires qui résident en France. Les plus-values sont soumises à l’impôt sur les sociétés à un taux de 33,33 %. Cependant, il existe un certain nombre de déductions et d’exonérations qui peuvent s’appliquer pour réduire le montant de l’impôt qu’une société doit sur les plus-values.
Il existe également un certain nombre d’impôts spéciaux qui s’appliquent à des types de revenus spécifiques, tels que les bénéfices bancaires et les primes d’assurance. Ces impôts spéciaux ont généralement des taux inférieurs au taux standard de l’impôt sur les sociétés. Le système de l’impôt sur les sociétés en France est relativement complexe. Cependant, les taux d’imposition sur les revenus des sociétés sont généralement plus faibles que dans de nombreux autres pays. Cela fait de la France une destination attrayante pour les investissements des entreprises étrangères.
Comment payer votre impôt sur les sociétés ?
Vous pouvez payer votre impôt sur le revenu des sociétés en ligne, par l’intermédiaire de votre institution financière, ou en postant un chèque à l’Agence du revenu du Canada (ARC). Si vous payez par chèque, assurez-vous d’inclure le numéro d’entreprise à 15 chiffres de votre société afin que l’ARC puisse traiter votre paiement correctement.
L’impôt sur le revenu des sociétés est dû le dernier jour du mois suivant la fin de l’année fiscale de votre société. Par exemple, si l’exercice financier de votre société se termine le 31 décembre, l’impôt sur le revenu des sociétés est dû le 31 janvier de l’année suivante. Si vous ne pouvez pas payer le montant total de l’impôt sur le revenu des sociétés à la date d’échéance, vous pouvez prendre des dispositions avec l’ARC pour payer par acomptes provisionnels.
Quelles sont les pénalités en cas de non-paiement de l'impôt sur le revenu des sociétés ?
Si vous ne payez pas votre impôt sur le revenu des sociétés à temps, vous devrez payer une pénalité pour production tardive. La pénalité de retard est de 5 % de l’impôt sur les sociétés dû, plus 1 % de l’impôt sur les sociétés dû pour chaque mois complet de retard de votre déclaration, jusqu’à un maximum de 12 mois. En outre, si vous ne payez pas votre impôt sur le revenu des sociétés à temps, vous devrez payer des intérêts sur le montant impayé. Les frais d’intérêt sont calculés au taux prescrit et sont composés quotidiennement.
Quelles sont les déductions fiscales possibles pour diminuer le montant de l'IS à payer ?
Il existe plusieurs déductions possibles afin de réduire la charge fiscale des sociétés. Il s’agit notamment de :
- Le coût des marchandises vendues (COGS) : Cette déduction peut être faite pour les coûts engagés dans la production des biens ou des services vendus par l’entreprise. Cela comprend le coût des matériaux, de la main-d’œuvre et des frais généraux.
- Les frais professionnels : Toutes les dépenses professionnelles légitimes peuvent être déduites de l’impôt sur le revenu des sociétés, y compris la publicité, le loyer, les services publics et les frais de déplacement.
- La dépréciation : Il s’agit d’une déduction pour l’usure des actifs commerciaux tels que les bâtiments, les machines et les véhicules. Elle peut également être prise pour les actifs incorporels tels que les brevets et les droits d’auteur.
- Les intérêts débiteurs : Les intérêts payés sur les prêts aux entreprises peuvent être déduits de l’impôt sur les sociétés.
- Les contributions à des œuvres de bienfaisance : Les dons faits à des organismes de bienfaisance qualifiés sont déductibles de l’impôt sur le revenu des sociétés.
Existe-t-il des crédits d'impôt pour compenser l'IS à payer ?
L’impôt sur les sociétés est imposé sur le revenu mondial des sociétés ayant une résidence à Singapour. Le taux de l’impôt sur les sociétés est de 17 %, l’un des plus bas au monde. Toutefois, il existe un certain nombre de crédits d’impôt compensatoires qui peuvent être utilisés pour réduire l’impôt sur les sociétés à payer. Il s’agit notamment de :
- Une exonération des revenus d’origine étrangère, qui exonère d’impôt jusqu’à 70 % des revenus d’origine étrangère
Ces deux crédits d’impôt compensatoires peuvent être utilisés pour réduire considérablement le montant de l’impôt sur les sociétés à payer. En outre, il existe un certain nombre d’incitations fiscales pour les entreprises qui peuvent être utilisées pour réduire encore plus l’impôt sur les sociétés. Il s’agit notamment de :
- Le régime de crédit pour la productivité et l’innovation (PIC), qui prévoit des déductions ou des allocations fiscales pouvant atteindre 400 % pour les dépenses admissibles relatives aux activités d’innovation et de productivité
- Le remboursement de l’impôt sur le revenu des sociétés, qui prévoit un remboursement de l’impôt sur le revenu des sociétés pouvant atteindre 20 % de l’impôt sur les sociétés à payer
Ces incitations fiscales pour les entreprises peuvent offrir un allègement significatif aux entreprises ayant leur résidence à Singapour.
Comment déclarer votre impôt sur les sociétés ?
Votre déclaration d’impôt sur le revenu des sociétés doit être déposée dans les six mois suivant la fin de l’exercice fiscal de votre société. Par exemple, si l’exercice de votre société se termine le 31 décembre, votre déclaration d’impôt sur le revenu des sociétés doit être déposée au plus tard le 30 juin de l’année suivante. Lorsque vous déposez votre déclaration d’impôt sur le revenu des sociétés, vous devez inclure les états financiers de votre société. Ces états peuvent prendre la forme d’états financiers vérifiés ou d’états financiers non vérifiés qui ont été préparés conformément aux principes comptables généralement reconnus.
Exonérations fiscales pour l'IS
Les Exonérations fiscales pour l’IS sont disponibles pour les entreprises qui ont obtenu le statut IS par l’autorité compétente.
Pour pouvoir bénéficier de l’exonération de l’impôt sur les sociétés, la société doit :
- Être enregistrée auprès des autorités compétentes
- Avoir son siège social dans l’État
- Mener ses activités commerciales conformément aux principes de l’IS.
L’exonération de l’impôt sur les bénéfices s’applique aux entreprises locales et étrangères qui satisfont aux critères susmentionnés. L’exemption est normalement accordée pour une période de cinq ans, après quoi la société sera soumise à l’impôt sur les bénéfices conformément aux lois de l’IS dans lequel elle est enregistrée.
Il convient de noter que l’exemption de l’impôt sur le revenu des sociétés n’est pas une exemption générale et il peut y avoir certaines circonstances dans lesquelles l’exemption ne s’appliquera pas. Par exemple, s’il s’avère qu’une société opère dans l’IS sans avoir obtenu l’enregistrement requis, ou si elle exerce des activités commerciales contraires aux principes de l’IS, l’exemption peut être retirée. Dans ce cas, la société devient alors redevable de l’impôt sur les sociétés conformément aux lois de l’IS dans lequel elle est enregistrée.
FAQ - Questions fréquentes
L’impôt sur les sociétés est imposé à toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur rentabilité. Cela inclut les entreprises individuelles, les partenariats, les sociétés à responsabilité limitée et les sociétés par actions.
L’impôt sur le revenu des sociétés est calculé en appliquant un taux d’imposition au revenu imposable d’une société. Le taux d’imposition varie en fonction de la juridiction, mais il se situe généralement entre 15 et 35 %.
Si une société ne paie pas l’impôt sur le revenu des sociétés, elle peut être soumise à des intérêts et des pénalités. En outre, la société peut se voir interdire de faire des affaires dans la juridiction où l’impôt est prélevé.
L’impôt sur les sociétés est une importante source de revenus pour le gouvernement français. Il est utilisé pour financer les services et infrastructures publics, tels que l’éducation et les soins de santé.
Le taux de l’impôt sur les sociétés en France est de 33,33 %. Ce taux s’applique à toutes les sociétés, quelle que soit leur taille ou leur rentabilité.
L’impôt sur les sociétés est appliqué aux bénéfices imposables des sociétés et autres entités juridiques. Le taux est de 33,33 % sur les premiers 25 000 euros de bénéfices imposables, et de 38,33 % sur les bénéfices imposables dépassant 25 000 euros. Une surtaxe de 3 % est également prélevée sur les bénéfices imposables dépassant 1 000 000 euros. Outre l’impôt sur les sociétés, les entreprises sont également soumises à un certain nombre d’autres taxes, notamment la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), les charges sociales, les impôts fonciers et les taxes professionnelles locales.
Le système français d’imposition des sociétés est complexe, avec un certain nombre de taux d’imposition et d’exonérations différents. Cependant, la charge fiscale globale des entreprises est relativement élevée, à environ 50 % des bénéfices.